Mona Ouzouf à dit que « la lecture est un exercice solitaire » et qu’il est possible « dans la vie et c’est une merveille, [de] trouver l’être avec lequel il est délicieux de lire côte à côte, mais on ne peut pas lire ensemble ». Cette réflexion éclaire ce qu’écrivait Khalil Gibran sur l’amour qui unit quand il expliquait que « les cordes du luth sont seules alors qu’elles frémissent sur la même mélodie. » et que « le chêne et le cyprès ne s’élèvent pas dans l’ombre l’un de l ‘autre. »