Seuls Tempanius et ses suiveurs gardent leur sang-froid, et attaquant le camp des Volsci, ils s'aperçoivent... qu'il est vide ; retournant vers le camp romain, ils s'aperçoivent... qu'il est vide. Marmonnant sûrement "mais quels cons", Tempanius décide de rentrer à Rome au plus vite, en embarquant les blessés abandonnés par son chef.
Il arrive à Rome, où on avait entendu parler d'une défaite, et où on croyait à l'annihilation de l'armée. Et Tempanius est accueilli en héros.