Camillus sent que la victoire va venir. Toutes les conditions sont réunies.
Il n'a qu'à s'inquiéter d'une chose : l'énorme butin que Rome va se faire. Faut-il laisser les soldats se servir ? ou tout vendre pour alimenter le trésor public, et ainsi s'attirer la haine des soldats ?
Au livre IV on a massacré un TMPC pour moins que ça.
Camillus consulte habilement le sénat. Celui-ci s'écharpe mais, finalement, décrète que pourrait venir à Veii toute personne voulant sa part de butin.